Nous savons tous que les Indiens ont pour tradition de dépenser de l’or. Ainsi, il est surprenant de voir qu’ils ont trouvé leur nouvelle obsession sous la forme de crypto-monnaie.
Les statistiques de Chainalysis soutiennent la déclaration précédente qui montre comment les investissements dans les cryptomonnaies dans le pays sont passés de 200 milliards de dollars à 40 milliards de dollars l’année dernière.
L’Inde est désormais en tête des détenteurs de métal jaune – 25 000 tonnes – investi des milliards en crypto-monnaie. Cette augmentation des investissements se produit même lorsqu’il existe une aversion pour la monnaie numérique de la part de la RBI.
En 2018, la Reserve Bank of India (RBI) a interdit la prise en charge des transactions de crypto-monnaie après avoir vu divers cas de fraudes en monnaie numérique.
La Cour suprême, gardienne de la constitution indienne, a bloqué cette interdiction sur 2020 au mois de mars. La banque centrale a ensuite été promue pour notifier que l’ordre antérieur avait été annulé.
Malgré cela, de nombreux investisseurs sont passés à la crypto. L’exemple est un entrepreneur de 32 ans, Richi Sood, qui avait mis plus de 13 400 $ en Bitcoin, Dogecoin et Ether en décembre. Au mois de février, lorsque le Bitcoin a franchi 50 000 $, elle a effectué le retrait.
Comme Sood, plus de 15 millions d’Indiens achètent et vendent des pièces numériques. Il a dépassé les 2,3 millions du Royaume-Uni et rattrapé les 23 millions des États-Unis.
Le plus grand obstacle est l’incertitude réglementaire. Alors que la Cour suprême a annulé les ordonnances de la RBI en 2018, les autorisations n’ont montré aucun signe d’adoption des cryptomonnaies.
Les règles fiscales pour la crypto-monnaie sont également une préoccupation pour de nombreux investisseurs. L’un de ces investisseurs a montré qu’il s’inquiétait des impôts rétrospectifs et des raids. En partageant leur réflexion sur un site d’information, si l’interdiction est imposée, il devra effectuer des transactions sur un compte offshore dans une banque singapourienne.